Dans la matinée du mardi 24 février 1682 au manoir de Kerguélen en Pouldergat, Roberte de KERLOAGUEN, veuve de Guénolé DE QUELEN, rend aveu de ses biens à son seigneur, Sébastien de ROSMADEC, marquis de Pont-Croix. Comme veut l’usage de l’époque cet acte dénombre et décrit les biens possédés par elle à titre de ligence et liste les revenus qu’elle en perçoit, il est signé par deux notaires royaux, maitres Lyminic et Fily. Certains lieux ont disparu mais la plupart existent toujours, les personnes citées dans ce document sont les ascendants des paysans qui ont tenu ces villages jusqu’au siècle dernier et parfois même jusqu’à aujourd’hui.