L’implantation des bourgs, pas par hasard

La carte des lignes de partage des eaux et des bassins versants nous donnent des indications intéressantes sur la localisation des bourgs de notre région et notamment celles des anciennes paroisses primitives. Ces implantations ne sont pas dues au hasard, elles sont généralement situées sur des lignes de crête là où les déplacements pouvaient se faire en évitant les zones humides et les fortes déclivités. Le document en annexe tente d’analyser ces implantations bourg par bourg. < TELECHARGER LE DOCUMENT >

Le village de Gorrequer en Pouldergat

Au fil du temps plusieurs villages de la commune ont disparu, pour certains nous devons leur souvenir aux dires de nos prédécesseurs ou parfois à quelques empreintes laissées sur le terrain, mais pour d’autres l’affirmation de leur existence passée ne tient qu’aux écrits laissés sur les « lambeaux de mémoire » que sont les vieux papiers jaunis de nos archives, c’est le cas pour le village de Gorréquer, abandonné depuis près de trois siècles. < OUVRIR le document >

Le moulin de Keradu en Pouldergat

L’enquête réalisée en 2005 à Pouldergat par l’Office de la Langue Bretonne mentionne un Moulin du Keradu sans qu’il soit localisé. Ce moulin est cité conjointement avec le village de KERVIDINIC (Kerguydinic) dans un dénombrement de terre de 1540 (ADF 16J38). Il est donc probable que ces deux lieux, soumis au même domaine féodal, étaient voisins. L’article en annexe propose une localisation à ce moulin. < OUVRIR LE DOCUMENT >

Le cadastre napoléonien (1827) – GOURLIZON section A1

En 1827 le territoire de Gourlizon dépendait de la commune de Plonéis. Le plan cadastral ci-dessous est annoté (en bleu) des noms de parcelles les moins communs. Ces noms sont issus du tableau indicatif des propriétés foncières établi à la même époque. L’orthographe des noms les plus courants est généralement correcte, par contre celle des noms dont le sens était déjà oublié en 1827 est certainement approximative. D’autres cadastres annotés seront publiés bientôt sur DOUAROU.

L’aveu de Roberte de Kerloaguen – 1682 – transcription

Dans la matinée du mardi 24 février 1682 au manoir de Kerguélen en Pouldergat, Roberte de KERLOAGUEN, veuve de Guénolé DE QUELEN, rend aveu de ses biens à son seigneur, Sébastien de ROSMADEC, marquis de Pont-Croix. Comme veut l’usage de l’époque cet acte dénombre et décrit les biens possédés par elle à titre de ligence et liste les revenus qu’elle en perçoit, il est signé par deux notaires royaux, maitres Lyminic et Fily. Certains lieux ont disparu mais la plupart existent toujours, les personnes citées Lire la suite …

A N N O N C E / K E L E I E R

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